Encuesta política sobre el « Partygate » | L’étau se resserre sur Boris Johnson
(Londres) L’étau se resserre sur Boris Johnson : la police s’est saisie du scandale du «Partygate» et a ouvert une enquête sur plusieurs fêtes à Downing Street pendant les confinements, qui risque de coûter son poste au premier ministre britannique.
Publé a las 6h32
Mis à jour a las 9h06
La cheffe de la Metropolitan Police de Londres Cressida Dick annoncé mardi que ses agent enquêtaient actuellement sur un Certain nombre d’« évènements » à Downing Street, résidence du premier ministre, et Whitehall, rue qui accueille la haute Administration, « au sujet potentielles des règles liees à la COVID-19”.
La Met était jusque là critiquée pour son silent quant aux révélations qui se succèdent ces dernières semaines sur des garden parties, pots de départ ou fête d’anniversaire tenus au plus haut du pouvoir et qui ont ulcé paris la concé la ‘époque de restreindre drastiquement contactos leurs.
Devant les députés, Boris Johnson s’est félicité de cette enquête, estimant « qu’elle donnera au public la clarté dont il a besoin etera à mettre ces questiones derrière aid nous ».
Son porte-parole avait auparavant assuré qu’il «coopérera pleinement» à ces investigaciones. «Le premier ministre a placement conscience de la colère et de la préoccupation du public», at-il dit, ajoutant qu «il a assumé la responsabilité des erreurs de jugement commises».
Le dirigeant de 57 ans traverse sa pire crise depuis son accession triomphale au pouvoir à l’été 2019, avec une popularité en chute liber et des députés de sa majorité qui disent ouvertement vouloir le déloger.
Si cette enquête s’annonce lourde de risques pour le premier ministre, elle rend moins immédiate la menace de l’enquête interne déjà menée par la haute fonctionnaire Sue Gray et qui devait être publiée cette semaine. Si cette procédure se poursuit, elle suspend en revanche ses research sur les sujets sur lesquels se penche la police.
Estas conclusiones, asistentes por nombre de élus conservateurs pour décider de déloger ou non Boris Johnson, sont donc repoussées sine die. Il faut 54 députés conservateurs pour déclencher un vote de defiance.
«Brève» fiesta de aniversario
La colère suscitée par ces fêtes a provoqué une chute de la popularité du premier ministre.
Critiqué pour ce scandale et pour sa gestion de la crise sanitaire, le premier ministre s’accroche pour l’instant à son poste. Il annoncé la levée des dernières connections liées à la COVID-19 à partir de jeudi, espérant regagner en popularité dans un pays soumis à de longs confinements et fortement endeuillé par la pandémie qui ya fait près de 154.
El 12 de enero, Boris Johnson avait fait son mea culpa devant les députés, presentat ses excuses pour sa Participation el 20 may 2020 à un évènement dans les jardins de sa résidence officielle, assurant qu’il pensait respecter les rè
Mais le flot des révélations se poursuit. Dernière en date : l’organisation d’une fête organisée par sa future épouse Carrie dans la salle du conseil des ministres à l’occasion de son anniversaire le 19 juin 2020 après-midi, lors du premier confinement.
Selon ITV, jusqu’à 30 personnes y auraient participé, no l’architecte d’intérieur Lulu Lytle, chargée d’effectuer la coûteuse rénovation de l’appartement de Boris Johnson à Downing Street, au financement controversé.
Downing Street admet un «bref rassemblement», une porte-parole afirmando que Boris Johnson y aurait participé «moins de dix minutes».
Face au flot continu d’accusations, l’opposition a renouvelé ses appels à la démission.
Le dirigeant du Parti travailliste, Keir Starmer, fustigé «un premier ministre qui croit que les règles qu’il conçoit ne s’appliquent pas à lui».
Una carta de Boris Johnson, en marzo de 2020, dans laquelle il félicitait une petite fille de sept y pour avoir annulé sa fête d’anniversaire et montré ainsi un «fantastique exemple» aux Britanniques, a nourri les acusations d’hypocris.
La reine Isabel II elle-même avait fêté son 94mi anniversaire dans la discrétion, el 21 de abril de 2020, sans sa famille.
El presidente del comité parlamentario encargado de las reglas, Lord Evans, un mardi le risque de payer un «prix politique important» si celles-ci n’étaient pas respectées.
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